L’industrie s’efforce de mesurer la libération de particules microplastiques dans les processus de lavage domestique

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  • Comité électrotechnique international (CEI) se sont réunis à Tokyo pour discuter des principaux résultats de l’étude conjointe menée par Consortium microplastique dirigé par APPLiA pour évaluer la libération de particules et de fibres microplastiques dans les processus de lavage domestique. Cette réunion marque une étape décisive vers le développement d’une méthode de mesure fiable, répétable et reproductible pour les machines à laver domestiques.

    Le Consortium sur les rejets de microplastiques lors des lavages ménagers s’est réuni 21 signataires allant des fabricants de machines à laver, de détergents et de filtres tester les instituts et les installations, en vue d’établir les éléments de base vers une méthode de test harmonisée pour mesurer le comportement des machines à laver et la libération de microplastiques lors d’un cycle de lavage domestique réel. L’une des principales conclusions de l’étude était que les particules de plastique et les fibres synthétiques ajoutées intentionnellement aux machines à laver ne se retrouvent que partiellement dans les égouts. Les analyses montrent une grande variabilité des résultats même dans un environnement contrôlé en laboratoire. Alors que l’étude tentait de combler le fossé entre le laboratoire et la vie réelle, le Consortium a dû relever plusieurs défis pour développer un protocole entièrement répétable, reproductible et pertinent pour le consommateur.

    «Il reste encore de nombreux paramètres d’influence et des points ouverts à étudier et à analyser – expliqué Gundula Czyzewski, responsable de l’IEC et experte principale du BSH s’adressant aux experts techniques de la CEI -. Ceux-ci comprennent le problème de fibre non synthétique fragments tels que la laine et le coton, les utilisation de lessive en poudre et machine à laver montant de la charge entre autres, cela pourrait peut affecter le colmatage du filtre et restent une question ouverte à une analyse approfondie.» Par conséquent, à partir des mesures effectuées dans le Consortium, il n’a été possible de calculer que quelques facteurs de performance individuels, déclenchant la nécessité d’une enquête plus approfondie. En ce sens, les participants à l’atelier ont convenu que les organismes de normalisation sont le bon endroit pour poursuivre la discussion pour le développement d’une procédure de test précise qui pourrait vérifier les performances de n’importe quelle solution.

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